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comment gérer le quotidien et ne plus conduire

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 mady
(@mady)
Messages: 17
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Créateur du sujet
 

bonjour

depuis mon rdv avec le Dr S De La Tullaye,  je n'ai apparemment plus l'autorisation de conduire ma voiture , quand est il pour vous? car comment allez travailler sans véhicule,  comment gérer le quotidien

Mady :bye:

 
Posté : 19/09/2015 07:20
 Jess
(@jess)
Messages: 6
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Bonjour!!

Je n'ai pas pu répondre plus tôt..... Merci Mady de m'avoir répondu j'avais bien lu! :-)

Alors voilà tout s'est bien passé pour moi. Enfin c'était très dur à passer mais je m'en suis bien sortie!

Je récupère les résultats jeudi, je vous raconterai!!

 
Posté : 21/06/2016 12:46
(@marmotton74)
Messages: 12
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Bonsoir.

Il y a quelques temps, j'ai mis un commentaire sur le site intitulé :

Cacher ma maladie, jusqu'à quand ?"

Cela m'a permis de connaître la loi en matière de conduite automobile, l'obligation de se faire connaître auprès de la Préfecture et de passer des tests afin de déterminer mon aptitude ou non à la conduite. Cela fait donc presque 20 ans que je conduis sans avoir fait ces démarches (n'ayant pas été informée de la loi par mon médecin.)

A mon dernier rendez-vous avec mon Pneumologue en juin, je lui ai posé cette question : "quelle est ma situation vis à vis de la loi en matière de conduite automobile". Il m'a répondu que pour les permis poids lourd, bus, les tests étaient nécessaires et mis en place mais que pour moi qui n'ai qu'un permis VL, prévenir la préfecture et réaliser les tests ne lui semblait pas justifié puisque je suis traitée par Modiodal et Anafranil.

Alors, je me suis remise en question et ai pris une décision.

Je ne prévient pas la Préfecture, ne fait pas les tests et ne risque ainsi pas mon permis. En revanche, je m'oriente vers la mobilité douce dans le but au final de ne plus conduire. Car malgré le Modiodal, j'ai encore des moments de somnolence au volent. Et malgré toute ma prudence (siestes préventives, siestes en cours de trajet), il faut que je me rendes à l'évidence : il y a de courts moments, nombreux, où je somnole au volent.

Mobilité douce ? Je teste. Je me suis organisée des vacances "vélo/train" avec mon vtt et ma tente. J'en ai profité pour tester le vtt éléctrique (ce qui permet de parcourir plus de distance, plus facilement). Je me renseignes sur les horaires de bus pour me rendre à mon travail. Je regarde aussi blablacar. Et pour mes sorties, si tout ceci ne fonctionne pas, je covoiture.

A terme, j'envisage de vendre mon véhicule, et de ne conduire que dans les situations ou je suis certaine d'être au top. Dans ce cas, je louerai une voiture. Par exemple, pour les vacances, je me rends sur mon lieu de vacances en train et je me déplace en voiture de location dans les moments ou je suis parfaitement reposée et sans contraintes d'emploi du temps.

Je réfléchis également à tous les moyens que je pourrai mettre en place dans ma vie quotidienne pour ne pas être pressée par le temps et ainsi pouvoir gérer mes moments de somnolence en toute liberté.

Un seul bémol : mon travail. Personne n'est au courant de ma maladie car mon travail nécessite de conduire. Une chance : je travaille seule et conduit sur de courtes distances. J'arrive donc à gérer. Mon souhait cependant serait de ne plus avoir à cacher ma situation dans le cadre de mon travail. Un jour peut-être... Je réfléchis solutions et je trouverai bien celle qui me convient. Peut-être un changement de travail qui n'implique pas de conduire et donc de me cacher.

Finalement, je décide de faire de ce changement de vie non pas une contrainte mais un choix. Et tout ce que je vais entreprendre à partir d'aujourd'hui va me mener simplement sur le chemin de ma liberté.

En ce qui concerne la loi, si mes infos sont toujours d'actualité (infos que j'ai eues sur le site), celle-ci est en passe d'être modifiée. Elle serait plus souple pour les personnes atteintes d'une maladie du sommeil.

          Plus besoin de prévenir la Préfecture : c'est le médecin habituel qui émet son avis sur la capacité de conduire de son patient.

          Le permis sera remis en cause par des tests tous les 3 ans et non tous les ans, à l'initiative du médecin qui nous suit.

          Par contre, si une somnolence persiste malgré le traîtement, la nouvelle loi considère que la personne est inapte à la conduite.

En tout état de cause, c'est le médecin habituel (et soi même) qui seront les seuls juges.

 

 
Posté : 07/08/2017 20:06
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